MOUVERS Podcast avec Nomad Slim

Devenir une machine de PRODUCTIVITÉ sans sacrifier ton bien-être. | Ep. 034

Nomad Slim Season 2 Episode 34

Découvrez comment transformer votre approche de la productivité en faisant mieux, pas nécessairement plus. Imaginez une productivité maximale sans épuisement, où l'essentialisme et la discipline deviennent vos alliés.

Au-delà des hacks de productivité irréalistes, nous vous dévoilons des stratégies pour distinguer occupation et réelle efficacité, avec des clés concrètes pour naviguer dans un monde rempli de distractions.

En partageant des anecdotes personnelles du football et du Jiu-Jitsu Brésilien, nous illustrons comment se concentrer sur l'essentiel peut mener à des résultats impressionnants.

Embrassez l'idée de trouver la paix dans un travail aligné et intense, inspirée par le stoïcisme et les enseignements de Ryan Holiday.

Découvrez pourquoi l'intensité stratégique, balancée par des pauses régénératrices, est cruciale pour une productivité durable.

Nous vous livrons nos trois principes pour devenir une véritable machine de productivité sans sacrifier votre bien-être. Plongez dans une vision holistique de la santé, où le sommeil, l'entraînement physique, et l'hygiène de vie prennent le devant de la scène.

Préparez-vous à sortir de votre zone de confort et à poser des limites claires pour vous concentrer sur ce qui compte vraiment, amorçant ainsi une transformation profonde de votre productivité avant la fin de l'année.

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Speaker 1:

Aujourd'hui, tout le monde te parle de routine parfaite et de hack de productivité.

Speaker 1:

Mais voici la vérité rien ne remplace le travail dur, concentré, discipliné. C'est ce dont je vais parler aujourd'hui dans cet épisode de podcast Et, oui, enfin, le Nomad Slim qui fait un épisode sur la productivité. Ceux qui me suivent depuis longtemps, vous savez que j'ai presque en horreur ce mot parce qu'évidemment, il a été galvaudé, il a été repris par tout un monde qui s'appelle le monde du biohacking, des gens qui cherchent des raccourcis. J'ai été beaucoup critique de ce monde-là. Évidemment, aujourd'hui, je vais remettre une petite couche, mais je vais quand même aborder la thématique et essayer de proposer une solution, en tout cas une alternative. Donc, aujourd'hui, ça ne va vous faire changer de paradigme sur la productivité. Vous partagez deux concepts, notamment un qui, pour moi, dirige quasiment l'entièreté de ma vie. C'est une approche de la vie, une philosophie, mais qui est très applicable à ce domaine de la productivité, quand on parle business, etc.

Speaker 1:

Et vous donnez évidemment une petite marche à suivre à la fin de cet épisode pour que vous puissiez devenir des machines de productivité, mais sans vous cramer. Elle est là l'astuce. Si tu veux des résultats exceptionnels, évidemment, tu dois apprendre à travailler comme une machine, tu dois avoir une vie extrême si tu veux ces résultats-là, pas d'excuses. Mais il y a une manière de le faire sans se brûler, il y a une manière de le faire sans avoir ce syndrome de l'objet brillant et il y a une manière de le faire sans les fameuses routines de 3h du DevTerso que et je le précise dès le début de cet épisode, on va y revenir plus tard aucune personne influente qui a créé un business ou qui a une notoriété dans le domaine de la productivité, biohacking, et toutes ces choses-là, tous ces gens-là, sans exception, n'ont jamais appliqué les conseils qu'ils vous partagent au moment où ils ont commencé. Ces conseils-là et ces routines de 3h ou 4h le matin, entre ta méditation, ton froid, ta pratique, etc. Tout ça, c'est irréalisable. Irréaliste tant que tu n'as pas le luxe du temps, tant que tu n'as pas le luxe du temps, tant que tu n'as pas, enfin, acheté ta liberté temporelle et tu l'achètes avec de l'argent.

Speaker 1:

Donc, ces gens-là, depuis la position qui est la leur, 10 ans après, leur entreprise fait des millions, etc. Maintenant, ils te disent voilà, moi je fais mon froid, je fais ma petite routine, je m'expose à la nature, etc. Oui, d'accord, cousin, je suis salarié, etc. Je n'ai pas le temps de faire ta routine de 3 heures. Donc, ce n'est pas ça qui va m'amener à la productivité.

Speaker 1:

Donc, déjà, premier petit pied bouche, voilà ce dont on va parler aujourd'hui, et je vais vous donner des vraies clés actionnables, tangibles, pour les qui sont dans la vraie vie, qui bossent dur et qui veulent atteindre des objectifs et qui doivent s'imposer cette discipline et qui doivent trouver un moyen d'être productif sans se cramer, c'est-à-dire sans négliger la fondation de toute performance, qui est la santé, évidemment, l'hygiène de vie, la santé du corps. On vit dans un monde où tout va vite, mais dans ce monde-là, plein de distractions, la concentration est extrêmement rare. La plupart des gens qu'on font d'être occupés avec le fait d'être productifs et donc ils s'épuisent, ils font 10 000 trucs en même temps, ils ont la sensation d'aller nulle part, d'avancer nulle part, parce qu'ils n'arrivent pas à concentrer leur énergie dans une seule chose et on va y revenir plus tard et ils n'arrivent pas aussi à mettre les actions dans le bon ordre. Ils ne comprennent pas l'idée de la stratégie, du plan d'action et d'avoir quelque chose qui permet d'avancer de manière séquentielle. Voilà ce dont je vais parler dans une première grosse partie. La première petite punchline, c'est qu'il faut absolument arrêter de chercher des raccourcis. Je vais mentionner un des auteurs qui, peut-être, partage cette idée de manière très précise.

Speaker 1:

C'est évidemment Karl Newport, dans le bouquin Deep Work. On va y revenir à cette notion de Deep Work. La vraie productivité vient du travail concentré et intense sur des tâches essentielles, pas des distractions ni des pseudo-hacks. Il y a énormément de valeurs dans cette phrase-là, notamment la notion d'essentialisme je vais y revenir après et ce qu'il appelle le travail concentré et intense. C'est l'auteur du bouquin Deep Work.

Speaker 1:

Et pour les personnes qui sont dans le multitâche, dans l'idée de faire plein de choses dans la journée, de l'idée de commencer la journée avec une to-do list de 5 à 10 items et d'être extrêmement heureux et fiers d'eux-mêmes lorsqu'ils ont coché tous les 10 items, mais bizarrement, quand ils se couchent le soir, ils savent qu'en fait, ils n'ont pas vraiment fait avancer le curseur de leur projet, de leur santé, de leur relation, peu importe, eh bien là vous avez la clé. C'est qu'il faut avoir non seulement un travail concentré. Dans l'idée de concentrer, il y a aller vers le centre. Donc, tu imagines un concentré, ensuite il doit être intense. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que dans la tranche de temps, le moment que tu choisis, on va voir qu'il n'a pas besoin d'être très long par la suite, mais à ce moment-là, tu dois donner 100% de ton effort, voire plus, et c'est l'idée avec une intention forte, pas du travail half-assed où tu fais un petit peu bien, où tu fais les choses, on va dire avec une énergie médiane. Et ensuite, le dernier point, c'est sur des tâches essentielles.

Speaker 1:

Et là, l'essentialisme, ça va faire un gros pâté de ce podcast pour vous expliquer toute cette approche, comment on la définit, la philosophie, comment la mettre en place. Mais ça veut dire quoi? grosso modo, c'est qu'il faut être capable d'identifier la tâche la plus significative, celle qui apporte le plus de sens et qui fait avancer le projet le plus loin. Je vais vous parler évidemment des concepts comme la loi de Pareto, etc. Pour bien l'illustrer. Ça marche donc déjà. Il faut arrêter d'essayer de raccourcir tout ce processus Avec cette phrase on a long, qui est lent, qui est difficile et qui demande vraiment déjà ces trois paramètres, si on ne les a pas, on va toujours être soumis au syndrome de l'objet brillant, on va toujours être soumis au prochain marketeur qui va vendre une astuce, qui va vendre un hack, qui va vendre les trois étapes pour le complément alimentaire, pour la boisson neuro-optimized, je ne sais pas quoi, alors qu'au final on a juste besoin de faire ce travail, qui est dur, qui est intentionnel et qui est avec une telle intensité et qui est suffisamment bien choisi pour qu'en sortie, on a réellement pris le curseur de notre projet et on l'a fait avancer de dix pas.

Speaker 1:

Là où une autre personne qui va juste faire sa to-do list ou prétend être capable d'écouter un podcast ou une formation en ligne pendant qu'il envoie des emails, etc. Et que ça lui permet d'avancer, cette personne-là est encore dans une illusion. Elle est soit arrogante, soit extrêmement naïve et elle n'a toujours pas compris que l'élite business, dans la mentalité, ou peu importe aucun d'eux, ne fait comme ça. Et c'est ça, moi qui, la première on va dire première petite punchline ou la première petite arme que j'ai envie de vous donner, c'est de vous dire mais si moi, je veux des résultats qui ont déjà été obtenus par d'autres humains et que je copie simplement ce qu'ils ont fait, quand je vais lire leur emploi du temps et quand je vais voir comment ils en sont arrivés, là, c'est marqué nulle part qu'ils font du multitâche, c'est marqué. Nulle part qu'ils ont des hacks, c'est marqué. Nulle part qu'ils essayent de faire plein de tâches en un minimum de temps. Non, ce n'est pas des robots. Ils essayent de trouver quelque chose qui a du dans une seule direction. On va le voir par la suite. L'unicité d'objectifs. Donc ça, c'est la première chose. Arrêtez de chercher des raccourcis.

Speaker 1:

Deuxième chose, c'est évidemment la discipline, comme le pilier central. J'ai fait plusieurs masterclass là-dessus. Il y en a quelques-unes qui sont publiques sur YouTube. Sinon, vous pouvez retrouver évidemment des masterclass sur le deep work, l aujourd'hui et la discipline dans ma communauté en ligne. Vous avez le lien dans la description. Pour 49 euros par mois, vous avez accès à quasiment 40-50 masterclasses sur la santé holistique, le business et la mentalité. J'y reviendrai évidemment à la fin de cet épisode, mais en tout cas, comme toujours, je mentionne l'excellent Joko Willink dans Discipline Equals Freedom.

Speaker 1:

La liberté de vivre comme tu veux commence par la discipline de faire ce que tu dois faire tous les jours, sans exception. Et ça, les amis, c'est ce que tous les experts du biohacking, de la productivité, etc. Soit vous cachent ou soit c'est simplement des pâles copies d'experts. Donc, c'est tous les haut-parleurs qu'on a, tout le monde déjà francophones. Ily en a 90%. C'est juste des haut-parleurs, c'est des gens qui recopient ce que les Américains ont fait juste avant et qui répètent, ils vous font des synthèses, des bouquins là que je mentionne, parce qu'ils vous prennent pour des cons, ils vous pensent trop stupides pour aller les lire. Allez les lire, vous allez avoir la même sagesse, mais ils n'ont pas implémenté ces choses.

Speaker 1:

Une vie de discipline et essayer de développer cette discipline le plus vite possible et de la mettre dans sa vie et que ça soit le métronome de sa vie, c'est ça qui va vous faire ne pas tomber en fait dans ces pièges comme les hacks, les raccourcis, essayer de trouver des astuces pour faire quelque chose. Non, tu sais que quelque chose doit être fait, elle doit être fait. On sait comment développer de la masse, des compétences, etc. Tu le fais et puis c'est tout Plus vite. Tu te ramènes à cette simplicité et à cette clarté.

Speaker 1:

Tu vois le monde. Il est extrêmement simple. Tu peux voir ta vie comme vraiment un tunnel. T'es sur deux rails, il faut juste aller tout droit, t'as pas, tu as juste besoin de mettre ta tête dans le guidon et écraser la pédale le plus fort possible et tu vas voir que tu vas foncer. C'est une manière très simple.

Speaker 1:

Et la discipline, c'est évidemment le pilier central pour te permettre d'avoir une productivité extrême. Donc, discipline, et éviter déjà d'aller chercher des raccourcis. Déjà, on se rappe assez bien Là, dans la partie actionnable. Moi, je vais vous partager trois, trois principes pour devenir ce que j'appelle une machine de productivité. Et vous allez voir que, dans ces trois principes, il n'y a pas de routine matinale avec de la méditation, de l'exposition au froid, du jeu d'intimité. Il n'y a rien de tout ça. Il n'y a pas de complément alimentaire, il n'y a pas de bulletproof coffee, il n'y a pas d'ast, neuralink, etc. Et c'est dû, c'est de la brutalité et de la violence pure.

Speaker 1:

Qui je suis pour vous parler de ça? Je suis quelqu'un qui l'a fait et qui l'a fait toute sa vie, qui a été athlète de haut niveau dans plein de sports différents, qui est un polyglotte du mouvement humain, qui est un expert dans le mouvement, dans la santé, logistique reconnu et qui génère aujourd'hui 40 000 euros de chiffre d'affaires par mois. Voilà, ça, c'est mes stats dans le jeu vidéo. Donc, moi, basé là-dessus, je dis que ma parole, au moins, elle matter. Tu vois, elle peut aider quelqu'un.

Speaker 1:

Parce que moi, j'écoute des mecs qui ont des résultats, je m'en fous de qui ils sont, je vais l'écouter pour le business. Je ne vais pas écouter un phasme qui va me dire que s'exposer à la lumière du soleil et éviter de se coucher à 22h ou de se lever à 4h du matin quand tu n'as pas eu une nuit de sommeil optimale, c'est mieux parce que ça va respecter ton corps, et tu m'en vas l'écouter Au bout d'un moment. Les trois principes, maintenant que ça s'est dit. Numéro un, évidemment, l'essentialisme. C'est quelque chose que j'avais obtenu, je dirais un peu d'intuition, quand j'étais petit.

Speaker 1:

Donc, pour rappel, le premier sport que j'ai commencé, moi, c'était le football, à l'âge de 4 ans. Dès l'âge de 5 ans, j'étais compétiteur, tout de suite. Moi, j'ai fait que du sport, compétition, pas de sport santé, pas de sport bien-être, pas d'exploration, comme ça, pour se donner bonne conscience, ou on fait un peu de Spartan, ou des marathons, ou des trails, ou je sais pas quoi, ou du vélo, et après on se dit ouais, c'est juste pour le classement, d'accord. Donc, moi, je viens de ce monde-là. Je le dis pas pour dire que c'est mieux, je le dis parce que ça va vous expliquer comment j'ai pu trouver d'intuition cette méthode-là essentialiste, qui te permet de faire certes moins, mais mieux. Mais l'objectif, c'est pas d'en faire moins, d'accord. Ça, c'est l'approche. Un, de se dire comme je suis un robot et que je n'ai plus d'humanité, je vais juste enchaîner les tâches le plus vite possible, sans avoir la conscience que, dans toutes ces tâches, il y en a bien une qui vaut plus que les autres, ou il y en a bien 20% qui valent plus que les 80%.

Speaker 1:

Avec mon esprit d'intelligence humaine, pourquoi je ne sélectionnerais pas 7 tâches et je passerais ma journée à faire 7 tâches, bien plus que que tout faire. Tu vois, ça, c'est ce que tout le monde un peu productiviste ne vous raconte pas. Il vous parle des deuxièmes cerveaux, des applications, etc. Mec. Moi, je m'en sors depuis toujours avec zéro application, avec un carnet de notes et un stylo quatre couleurs. Quoi, ça marche.

Speaker 1:

Donc, pour revenir à l'essentialisme, moi je l'avais, voilà, je dirais, repéré quand je fais football, où j'avais bien compris que pas toutes les choses n'avaient la même importance. Tu vois, c'est-à-dire que il y avait beaucoup déjà de jeunes qui s'entraînaient en dehors des trois entraînements. Semaine donc, pour ceux qui ne connaissent pas, en gros, tu t'entraînes lundi, mercredi, vendredi. Au bout d'un moment, tu commences peut-être lundi, vendredi, t'es enfant et après, t'as trois entraînements, et tous les d'abord samedi, puis dimanche, il y a un match et en fait, quand t'es dans un grand club, notamment à Paris et en Ile-de-France. Et bien, en fait, il y a beaucoup de jeunes. Donc, tu dois gagner ta place pour le dimanche. Donc, en gros, chaque semaine, c'est une compétition déjà intra, intra club, pour que toi, tu arrives dans l'équipe 1, l'équipe 2, déjà, tu n'y touches pas, parce que c'est de la malédiction là-bas, tu ne rentres jamais dans ces équipes-là. Mais comme il y a ça, tu as évidemment les séances de groupe, les deux heures d'entraînement, ou 90 minutes d'entraînement les trois fois semaine, mais après, évidemment, tu vas t'entraîner en dehors.

Speaker 1:

Moi, j'avais mon père qui les deux pieds, apprendre à maîtriser le pied gauche autant que le pied droit, etc. Pour avoir des avantages compétitifs au moment des détections, etc. Et donc, j'avais bien remarqué qu'en fait, dans tous les exercices et dans la structure du football, pas tout n'avait la même importance, dépendant le poste aussi que t'avais. Donc, entre guillemets, il y avait des choses qui servaient pas à rien, mais qui servaient moins que les concentrer. Ou si tu te concentrais, enfin, pardon, si tu pouvais te concentrer dès le début sur ces choses-là, et bien tu aurais un avantage qui serait absolument incroyable sur tes premières années de football.

Speaker 1:

Moi, je le donne souvent pour des personnes qui veulent commencer, par exemple, le Jiu-Jitsu Brésilien ou faire leur première compétition. je leur dis toujours mais en fait, analyse ce qui sort le plus en JJB, dans les compétitions. Pas toutes les techniques ne sortent. Il y a environ peut-être trois techniques. Il y a Rear Naked, choke Triangle et peut-être Armbar ou Anaconda. Eh bien, essaye de sortir ces techniques-là. Donc, tu apprends à y rentrer, à les placer, et tu apprends à défendre ces techniques, cette seule manière de t'entraîner.

Speaker 1:

En trois mois, tu as plus de niveau dans le cadre de la compétition JB, par exemple, ceinture blanche, que les autres ceintures blanches qui se sont peut-être entraînées pendant deux ans parce qu'elles ont fait des actions qui n'étaient pas essentielles. Ça n'a rien à voir avec le minimalisme, ce n'est pas en faire moins avec moins, non, c'est faire mieux. Donc, on rentre dans l'idée de la pratique consciente, la pratique intentionnelle. Moi qui ai pratiqué avec les élèves de Lido Portal, il y a beaucoup de ça. Non seulement tu fais des grosses heures d'entraînement, mais les heures d'entraînement, elles ont une intention. Tu y vas pour travailler une qualité, tu y vas pour travailler et améliorer une texture. Tu vois, tu y vas, comme là, avec l'exemple du JGB, pour obtenir ces trois petites choses qui vont te permettre de couvrir 90% des cas de figure auxquels tu vas être exposé dans les compétitions. Donc, c'est inspiré du bouquin Essentialism de Greg McCown je crois qu'on dit comme ça, mccown où tu dois identifier les deux, trois choses qui génèrent 80% des résultats.

Speaker 1:

C'est la fameuse loi de Pareto, le 80-20. Tu coupes sans pitié, sans scrupule, tout le reste. En fait, tout le reste, tu l'acceptes comme étant superflu. Et c'est là où les gens qui sont très fiers d'avoir des to-do listes immenses et d'accomplir des to-do listes à la fin de la journée, en fait, c'est un peu des beuzios, parce qu'ils n'ont pas capté que, dans leur liste de 20 tâches, il y en a 4, en fait, qui valent la peine d'être faites, et les 4 vont apporter beaucoup plus à leur projet. Et souvent, les gens qui sont comme ça, ils ont tendance à faire les tâches les plus faciles ou les plus rapides pour se donner bonne conscience. Eh bien voilà, c'est rarement les plus rapides et les plus faciles qui apportent le plus au projet. Tu vois, c'est souvent le plus dur, le plus chiant, ce qui te crée le plus de friction, qui est le plus gênant, vers lequel tu as le plus de peur, qui fait avancer le projet.

Speaker 1:

Typiquement, entre créer du contenu et démarcher, c'est démarcher qui fait avancer le projet. Alors, tu peux faire ta programmation de contenu, passer ta semaine à filmer, à faire des bons montages, etc. Moi, je ne fais rien de tout ça. Je passe une heure à démarcher 20 personnes. J'ai peut-être trois appels dans la semaine. J'en close deux, c'est bon, deux à 1 000 euros. J'ai déjà 2 000 euros la semaine.

Speaker 1:

L'autre, il a fait des postes. Voilà, ça ressemble à du travail, mais ce n'est pas du travail. Donc, ça, c'est la première étape. Tout le reste, tu dois le couper, c'est et bien, c'est que c'est non. Attention, il ne faut pas tomber dans le piège de c'est utile.

Speaker 1:

Mais en fait, dans un mois, et peut-être si jamais il y a ça, parce que là, nous, on est très, très bon à se convaincre qu'une tâche, en fait, elle est pertinente, parce que, encore une fois, c'est notre ego qui veut nous protéger, mais en vrai, de vrai, c'est pas utile. Santé, tu vois. Donc, tu planifies ta semaine en commençant direct par ça et tu bloques des tranches de temps dédiées à ce travail-là. Pareil avec ta journée, tu te dis voilà, je mets deux ou trois sessions de deep work, 90 minutes à deux heures. Par contre, chaque session, il y a un truc à faire et qui est clair, net et précis et je sais pourquoi je le fais et qu'est-ceil va me rapporter aujourd'hui, dans trois mois, etc. Et le reste, je le dégage, ce n'est pas essentiel.

Speaker 1:

En gros, est-ce que mon système va toujours pouvoir avancer malgré ces petites choses-là? Oui, la peinture, on n'est pas obligé de la refaire. Tu n'es pas obligé de refaire les couleurs de ton site, changer la typographie, même. Il y a des choses qui sont comme ça, qui ne sont pas essentielles, là où il y en a d'autres qui sont absolument capitales et sans lesquelles le système va s'effondrer. C'est toujours ça qu'il faut faire et dépendant évidemment de l'objectif et de la vision que tu as. Encore une fois, il faut déjà avoir une vision épisode et d'autres masterclass pour vraiment définir sa vision claire selon ou en tout cas en accord avec cette direction-là. Tu vas voir qu'il y a des choses qui doivent être dégagées Dans les blocs de temps et c'est là où je vais faire le pont avec le fameux Cal Newport et son deep work, c'est que dans tes blocs de temps, tu dois être un nazi anti-distraction.

Speaker 1:

C'est-à-dire que dans les blogs de temps de Deep Work, où tu as dit voilà, moi je vais faire cette tâche, par exemple, je ne sais pas moi, ça va être là, démarcher, ou ça va être créer du contenu, enregistrer mes podcasts ou mes masterclass, etc. Tu ne fais que ça. Le reste, ça dégage. Il n'y a pas de téléphone portable, il n'y a pas de notification nulle part.

Speaker 1:

Tu disparais de la surface de la Terre pendant ces 90 minutes, à 2h ou 3h si t'en es capable, au risque de rater des choses importantes, parce que c'est la vie, la vie, tu ne peux pas gagner partout Si t'es toujours dans cette mentalité du et, si et si et si, et tu laisses toujours la porte ouverte à des petites choses pour venir t'interrompre. Tu ne peux l'obtenir qu'en acceptant de sacrifier des choses. Ça va être la dernière partie de cet épisode d'ailleurs, mais en tout cas l'idée là, à une petite échelle, sur tes deux heures là, il faut que tu aies le même mindset, parce que tu vas pas accomplir des grandes choses si déjà dans les petites actions, t'as discipline, la même structure. Donc, le travail de 90 minutes sans distraction, c'est pas avec le portable, ou c'est pas même ta famille, ou tes collègues, ou tes potes, etc. Ils peuvent pas te tapoter sur l'épaule. C'est à ce niveau de rigueur.

Speaker 1:

Toutes les portes de la maison sont verrouillées, toutes les fenêtres sont verrouillées, les volets sont baissés, il y a marqué à vendre, il n'y a plus personne. Donc, c'est ce niveau d'intensité, c'est non négociable. Tu dois tout désactiver. Tu ne dois pas laisser la moindre opportunité à un email, un texto, un WhatsApp, même de ta famille, même de quoi que ce soit.

Speaker 1:

C'est à ce niveau d'intensité, tout est verrouillé. Tu, moi, c'est mon exemple à moi, quand j'écris, par exemple, le mail du matin. J'en écris un tous les matins là, depuis 4 ans. Mais crois-moi bien que dans ce mail-là, je mets toute mon intention, quoi? Je mets toute mon énergie, je respire fort, je suis concentré, quoi?

Speaker 1:

Tu vois, au point où, des fois, je commande un café, je suis dans un café, le mail, parce qu'à la fin j'écris. D'où je l'écris. Quand je suis dans le café, généralement, j'ai commandé, je suis assis, j'ai déjà commencé, le café n'est pas venu, il est venu à un moment donné, j'en sais rien, j'ai pas vu le serveur. Et quand je sors ma tête de l'email, ça y est, il est déjà froid. Tu vois, démarche, tu démarches. Tu ne fais pas 10 000 trucs en même temps et tu ne fais pas un truc pendant que quelque chose d'autre se passe. Pourquoi? Parce que ton cerveau n'est pas du tout conçu pour le multitâche et changer de contexte, c'est ce qui coûte énormément d'énergie au cerveau. Donc, même dans le cas où tu te dis regarde, j'ai édité ma vidéo YouTube, je suis en train de cler régulièrement que la vidéo, elle n'est pas encore terminée, etc. Non, on ne travaille pas comme ça, ça marche Donc. Ça, c'est le deuxième point, c'est que dans ces petits blocs de temps que tu as définis dans ta journée, eh bien, tu y vas plein de balles. C'est ça, le fame. Excellent.

Speaker 1:

Ryan Holiday, que beaucoup de personnes connaissent parce qu'il a mis au goût du jour les fameux écrits des stoïciens, mais de base, lui, c'est un gros marketeur Et il est très, très, très puissant sur la communication digitale Et il a pas mal de gemmes qu'il a pu, justement, mixer avec le stoïcisme. Et dans son bouquin, la stillness is the key, il te dit que tu dois trouver la paix dans le travail intense, pas dans l'agitation. Et moi, c'est une des citations que je mentionne très régulièrement sur le podcast, justement, de mon entraîneur, christian, quand j'étais petit, au foot, qui me disait Slim, tu ne dois pas confondre vitesse et précipitation. Et bien là, c'est un peu la même idée Le travail intense, deep work, sur une tâche essentielle. Donc, tu vois, là, tu as les trois combinaisons.

Speaker 1:

Tu dois être en paix pendant ce moment-là, c'est-à-dire que ce n'est pas un moment qui te génère du stress, de la peur, de l'anxiété, etc. Et c'est que, normalement, quand tu abordes ça, tu opères depuis un état où tu es aligné avec ce que tu fais. Et c'est là la puissance de l'essentialisme, C'est que, comme tu identifies les tâches les plus significatives, d'en signifier il y a qui apporte du sens. Si elle apporte du sens, c'est qu' que, de base, il faut avoir ta vision. Ensuite, tu vas être capable de bien identifier les bonnes tâches et ensuite, quand tu vas faire ton deep work, ça va être intense et ça va être juste, et donc, tu vas pouvoir trouver de la paix dans ce chaos là. Mais si, toi, tu réalises des tâches, mais que t'es constamment dans de l'agitation, moi, ça me rappelle mes années où j'étais salarié.

Speaker 1:

En fait, c'est ça, c'est que tu gigotes en permanence, mais tu n'es jamais aligné, comme quand tu vois des scènes un peu au ralenti dans les films, où le mec, au milieu du chaos, en fait, il a ce focus laser, il s'entend respirer, mais il sait que ce qu'il fait, c'est la bonne chose à faire, c'est la chose juste, malgré le chaos apparent, malgré la difficulté, malgré le risque, etc.

Speaker 1:

C'est ça l'idée, tu vois, c'est que quand tu planifies ces périodes-là, en fait, tu sais que tu fais, tu avances en fait, et c'est ça qui t'apporte cette paix intérieure. Et l'idée supplémentaire, c'est que, que ce soit dans le sport, dans le business, dans ta mentalité, en fait, il y a ta stratégie de work in et il y a ta stratégie de work out. C'est pour reprendre les mots de mon frère, pierre Dufresne, c'est que là, c'est pareil Dans ce que tu fais sur ton business, c'est méga intense, c'est 90 minutes ou deux heures. Donc, en fait, il, pour ces moments-là, et c'est ça l'idée, c'est que moi, ça me va de faire 90 minutes non-stop, intense, ou en sortie de je ne sais pas ma création de contenu, par exemple, ou mes emails, ou je ne sais pas quoi, eh bien là, je transpire, je suis éclaté, quoi. Là, je me prends mes 10 minutes pour aller me balader.

Speaker 1:

Mais ce n'est pas, c'est logique, c'est cohérent avec cette stratégie-là, tout comme la minute de repos entre les rounds de sparring, il te faut la partie de récup à l'intensité que tu mets. Mais quand toi, tu suis des tâches comme ça, sans intention, sans cette intensité de concentration, sans le fait que ça t'apporte du sens, bien évidemment, que tu n'as pas vraiment le besoin de faire des pauses. C'est la raison pour laquelle il y a des gens qui te disent des fois ça fait 5 heures que je suis devant l'ordi, j'ai pas pris de pause, et ils le prennent comme un badge d'honneur. Mais frère, moi, quand tu me dis j'ai été 5 heures devant l'ordi sans pause, je sais que ton travail, il est pas quali, c'est pas possible. Je sais que pas expérimenté, le vrai deep work intense qui te met dans des états où, non, là, 5 heures, tu serais, ça, t'es KO. Bien sûr que tu peux le faire, moi j'ai déjà fait, même 6-7 heures d'enchaîner les appels, par exemple, mais c'est pas le même travail créatif ou le même travail de production, quelque.

Speaker 1:

Donc, les gens qui, encore une fois, prennent le temps passé devant l'ordinateur comme un badge d'honneur par rapport à la qualité et l'intention et le sens que ça a de travailler sur telle et telle chose, vous n'êtes toujours pas à une maturité entrepreneuriale ou une maturité dans le processus créatif ou d'entraînement nécessaire pour la réussite. C'est pareil avec les gens qui, encore une fois, te disent je me suis entraîné 90 minutes, je dis gars, tes 90 minutes, c'est même pas mes 5 minutes d'échauffement. Tu vois, on vit pas la même expérience, on est pas à la même intensité, on a pas la même intention, ça n'a pas le même sens pour nous de faire ce qu'on fait. Donc, travaille là dessus et tu vas voir qu'en combinant l'essentialisme, le deep work et Et stillness, tu vas avoir là une vraie amélioration dans ta productivité. Et tu vois, là-dedans, il n'y a pas de hack, là-dedans, c'est que dans ta tête, c'est ta narration et c'est le sens que tu donnes au travail que tu fais.

Speaker 1:

Et voilà pourquoi le salariat, en partie, ça ne permet pas d'atteindre ces moments d'épanouissement et de jouissance dans ton travail, parce qu'en fait, pour les salariés, ça n'a pas de sens, ce qu'ils font, la plupart, évidemment. Je ne te parle pas, encore une fois, des artisans ou des infirmiers, etc. Qui, techniquement, sont salariés. Moi, je te parle du gars classique, le gars qui est dans la rat race, assis à sa boxe, qui fait un travail pour lequel, s'il mourait demain, trois jours après, ils auraient déjà un oublier que ce mec-là existait.

Speaker 1:

Je te parle de ces gens-là qui constituent une bonne partie de la population. Évidemment, ce n'est pas toute la population, mais il y en a beaucoup. Donc, tu vois là, ce que j'exprime ici, moi, c'est mon approche et c'est mes trois principes pour devenir une machine de productivité. Si tu les appliques, tu les intègres dès aujourd'hui et tu pas de routine miracle. Il n'y a pas de miracle morning, il n'y a pas de Non, il y a du vrai travail dur, intentionnel, concentré, intense et, encore une fois, dans lequel tu investis une partie de toi aussi, tu mets ton essence dans ce travail.

Speaker 1:

Donc, ça revient encore une fois à l'idée de je fais un travail que je choisis, dont je suis responsable, dont je vais assumer les conséquences positives et négatives, et I have skin in the game. Sinon, ça va être compliqué de faire ça quand tu es caissier à Biocop. Dernier paramètre, ou en tout cas, on se rapproche de la fin, mais prochain paramètre pour soutenir un peu cette productivité intense. Comme je vous le disais dans l'introduction de cet épisode de podcast, il y a machine de productivité, mais il y a aussi, sans se cramer, et ça, ça vient comment? Uniquement, avec une hygiène de vie maximale, pas optimale, maximale, on va parler sommeil, alimentation, et évidemment le doux tarif, l'entraînement physique, et après aussi, quelques petites recommandations pour devenir indistrayable. Ça aussi, d'ailleurs, un bouquin que j'aurais pu mentionner dans cet épisode de podcast qui va vous permettre d'avoir aussi des bonnes clés pour, justement, couper toutes ces choses là.

Speaker 1:

Numéro 1, comme toujours, sur l'hygiène de vie. Vous connaissez mon approche de la santé holistique. Numéro 1, incontesté, incontestable, indétrônable le sommeil, évidemment. Donc, avoir des heures de sommeil qualitatif. Encore une fois, non, il n'y a pas de chiffre miracle, il n'y a pas de sommeil des horaires régulières.

Speaker 1:

Si tu as ta routine nocturne, tant mieux pour toi. Moi, je n'en ai pas. Je me couche juste à la même heure, je me lève à la même heure et j'ai un sommeil qualitatif parce que ce que je fais, c'est aligner et que je suis en paix dans ma tête. Tu vois, pratique, de la gratitude, tu mets ce que tu veux, mais moi, par contre, je finis ma journée, j'ai envie de dormir, donc je dors, c'est tout. Ensuite, la partie training. Évidemment, il faut se mettre des tarifs Là, je vous assure que tu ne pourras jamais avoir, je pense, ces niveaux de productivité dont on parle, qui sont, comme vous l'avez vu, alignés avec un sens de l'identité.

Speaker 1:

Une mission avec un sens de l'identité. Une mission, donc, c'est, encore une fois, corps, cœur, esprit, si la machine qui est cette technologie-là, le corps, le véhicule, ne va pas être capable d'aller loin déjà lui seul, parce qu'encore une fois, il n'y a pas de séparation entre le corps et l'esprit. Donc, si toi, tu te dis je veux devenir une machine de productivement, une capacité à mettre en lien des idées différentes et à être innovant, etc. C'est le corps qui produit ces pensées-là. Je t'imagine bien que si t'es obèse, t'es en phase, mais que t'as des douleurs, etc.

Speaker 1:

Tu ne vas pas être capable de faire ça. Et donc, l'entraînement minimaliste ou l'entraînement uniquement doux. Ne vais même pas faire appel aux mêmes figures d'autorité que tout ce monde-là de la productivité biohacking utilise, comme les Andrew Huberman et les autres. Je n'en ai pas besoin. Moi, ça parle d'expérience vécue. C'est du logique, c'est du bon sens. Tu n'as pas besoin d'aller dans la neuroscience approuvée avec une dernière étude, on n'en a rien à faire. C'est juste que c pas capable de soutenir une intensité, même cérébrale, une intensité, une énergie cogitée, une tolérance à la fatigue et au stress, etc.

Speaker 1:

Tu ne vas pas t'en sortir. C'est la seule justification que il faut que j'ai un corps qui soit une machine lui aussi. Ça passe nécessairement par des bons niveaux de force relatifs à ton poids de corps, évidemment, en accès aux amplitudes de mouvementideurs. C'est des blocages dans le corps. Si le corps et l'esprit ne sont qu'un, c'est des blocages dans le corps, c'est des blocages dans l'esprit.

Speaker 1:

Il faut voir aussi les choses comme ça. Chaque chose que tu fais a un impact sur les autres dimensions. Donc, pourquoi ne pas viser l'ex va rabâcher dans tout ce monde, encore une fois, de la longévité et tout la force, la poigne, etc. Oui, mais il y a aussi simplement du plaisir dans son corps. Tu vois, si ton corps te permet réellement de jouer, et encore une fois, concrètement, de manière absolue, pas relativement à, oui, mais là par, c'est plutôt pas mal. Non, visons plus haut, les amis, tu veux être une machine et tu veux avoir un véhicule et un pilote qui sont tous les deux performants. Donc, des gros entraînements, ça passe par du poids du corps, de la calisthénie, du crossfit, ce que tu veux. Mais il faut se mettre des doses Dans ces doses-là, on aborde la partie entraînement physique avec la même qualité qu'on aborderait la partie développement du projet, c'est-à-dire deep work, this is work, c'est du travail.

Speaker 1:

Tu vois, ok, i don't stop when I'm done, i stop when the job is done. Pour mentionner l'excellent Ido, le carburant, alimentation, même si on peut parler aussi du carburant pensée, du carburant lumière, on va rester sur l'alimentation, pour, c'est sur l'alimentation, pour moi, comme toujours, alimentation à dominante animale, grosse dose de protéines animales pour réparer le corps. Vu les tarifs que je m'envoie et vu la charge cognitive que j'ai après, il me faut quelque chose qui va venir réparer les fibres, qui va venir me donner cette notion de croissance. Je veux faire en sorte que mon corps puisse encaisser plus, être une machine plus performante, être plus, m'étendre plus, et là, je le vois au niveau spirituel, cognitif, au niveau physique. Et donc, une alimentation, voilà, avec très peu de produits transformés à part. Faites évidemment alimentation brute.

Speaker 1:

Des périodes de jeûne, si j'en ai besoin. Avant, j'étais très à fond dans le jeûne, mais là j'en ai besoin. Avant, j'étais très à fond dans le jeûne, mais là j'en ai pas le besoin. Tu vois, moi je mange deux fois par jour et tout va bien. Local, bio, autant que faire se peut. Là, ici, au Japon, c'est très compliqué, le bio.

Speaker 1:

Donc, on se prend pas la tête, on prend ce qu'il y a. Mais quand toi t'as les moyens, ou quand t comme en France notamment, tu fais au mieux et tu investis dans ce carburant-là, et après, la gestion un peu des distractions, gestion de tout ce qui va briller, qui va attirer notre regard. Évidemment, on coupe tout pour être une machine de productivité. Il n'y a rien qui pénètre, donc, il n'y a pas de Netflix à outrance.

Speaker 1:

Évidemment, regarder un film avec ta copine, une série, c'est super, c'est génial. Si, avec ta copine, une série, c'est super, c'est génial. Si t'as envie de t'y vertir et tout, il y a plein de bonnes choses là-dedans. C'est pas ce que je te dis. Si t'as envie vraiment d'être une machine et qu'aujourd'hui tu ne l'es pas du tout parce que tu dépenses une grosse quantité d'heures là-dedans, il faut qu'il apprenne. Ok, là, ok, je te laisse et je me dis ce mec là, il va pas subir ses pulsions et ses hormones. Donc ok.

Speaker 1:

Mais en attendant, essaye aussi d'essayer d'exprimer le meilleur de toi même, de voir ce que ça pourrait donner si t'étais intransigeant, avec la bouffe, avec les distractions, avec les films, les séries, l'alcool, la clope, etc. Et un jour, si tu sens l'envie et bien de les ré, tu les introduiras. Mais tu verras que ce sera avec une grande modération, parce que tu auras goûté à l'excellence humaine dans ces dimensions-là. Goûter à ça, goûter au fait d'être quelqu'un qui met en place toutes ces pratiques, qui a cette discipline, cette rigueur, qui peut afficher au monde qu'il est strict, rigoureux, discipliné, sur la bouffe, le sommeil, l'entraînement, tu vas voir que ça te donne une confiance en toi et ça te donne une aura qui est largement différente et que tu n'as pas envie de souiller en de nouveau tombant dans ces pièges. Alors, évidemment, tu es un humain, comme tout le monde. Il peut arriver plein de choses dans ta vie qui fait que tu vas de nouveau indulge ça, tu vas de nouveau autoriser ça à rentrer, soit tu les autorises, ça veut dire que tu es l'autorité, ça veut dire que tu as le contrôle et la souveraineté là-dessus. Ça ne te tombe pas dessus et tu ne réagis pas à ces choses-là. Donc, voilà pourquoi, peut-être, dans un premier temps, se mettre quand même une dose de discipline Et évidemment, pour moi, l'outil pour gérer au mieux les distractions travail de visualisation et vraiment passer du temps à s'étudier soi.

Speaker 1:

Toutes les personnes qui vous disent qu'il faut éviter de penser à soi ou de toujours être, avoir quelque chose à faire et tout. Non, c'est des gens qui sont occupés mais qui ne sont pas productifs et, dans le sens, ils produisent quelque chose d'utile au monde, à eux-mêmes, etc. Et ces gens-là, en fait, ils doivent explorer les tréfonds de leur conscience, ils doivent savoir qui ils sont au fond et surtout qui ils veulent devenir. Ils doivent être capables de créer une vision claire de là où ils ont envie d'aller, sinon ils ne vont jamais y aller. Tu dois être le capitaine de ton navire et tu choisis la direction. Après, c'est qui même me suive. Et this is, this is my way or no way. Voilà l'idée, sam Harris.

Speaker 1:

Pour mentionner aussi une de mes inspirations là-dessus sur le travail, un peu conscience, visualisation, etc. Comme les Joe Dispenza et les autres, un esprit calme est un outil puissant Et pour avoir cet esprit calme, il faut avoir dominion sur qui on est. Tu vois, l'intelligence émotionnelle, c Contrôle émotionnel, c'est ça que ça veut dire. Ce n'est pas une capacité d'empathie et pleurnicher à chaque fois qu'il y a un truc triste. Non, c'est justement ta capacité de choisir comment réagir au monde. Et ça, la pratique de la méditation, jusqu'à présent, n'a jamais fait défaut. Tu peux la combiner avec la visualisation du vision board, du journaling, comme tu veux. Il faut un véhicule et un pilote alignés et qu'ils puissent tous les deux performer Les sacrifices.

Speaker 1:

Maintenant. Et ça, je pense que c'est la partie qui n'est jamais mentionnée par tous ces haut-parleurs et influenceurs, la dev perso, bio hacking, etc. C'est qu'ils te disent Non, en fait, tu peux faire tout ça, mais il n'y a rien à sacrifier. Ok, super Donc. Donc, toi, dans tes lois de l'univers, il n'y a pas de transmutation, il n'y a pas de je dois déjà donner ça pour obtenir. Tu peux avoir tes routines de trois heures et, en même temps, avoir ta vie de famille et être productif et faire tes millions.

Speaker 1:

Non, c'est impossible. Les sacrifices, les amis, c'est ça la brutalité du concret, la dure réalité de la vie. Tu vois, quand tu veux, t'entra bien qu'un olympien qui vise la médaille d'or et qu'il l'obtient, le mec, il a dû sacrifier des choses. Tu vois, ça te paraît logique quand on parle de sport. Mais quand on parle de business, etc. Tu te dis bah, non, regarde, j'ai mes deux heures de lecture, mon petit bulletproof coffee, ma méditation, ma truc de gratitude, mes cousins, il est 11h, t'as toujours pas travaillé.

Speaker 1:

Comment ça se passe? l'idée du confort, on n'est pas là pour être confortable, on est là pour, on est là en mission, on est là pour éveiller notre conscience, on est là pour accomplir et s'accomplir, on est là pour apporter quelque chose de positif au monde. Donc, on n'est pas là pour être confortable. Tu vois donc le petit truc douillet, etc. Arrête le grand David Goggins pour le mention. Mais si tu veux être exceptionnel, tu dois accepter d'être inconfortable.

Speaker 1:

Le confort est l'ennemi de la productivité, bien sûr. Bien sûr, il y a des fois il va falloir bosser à des heures où tu n'as pas envie de bosser. Il y a des fois, il va falloir se lever deux ou trois heures plus tôt parce que c'est les seuls moments que tu as pour ton projet, etc. Et oui, il faut être dans l'inconfort. Ou le stage Wim Hof que tu as fait il y a un an, où tu as, une fois dans ta vie, été dans un bain glacé, ça, c'est pas l'inconfort. L'inconfort, c'est tous les jours, te mettre dans le mal. En fait, c'est difficile, c'est chiant, tu n'as pas envie de le faire. L'entraînement physique intense, le travail, se lever très tôt, il y a des J'ai lu ce truc-là sur le cycle circadien, d'accord, c'est pour ça qu'en fait t'es un smicard et que tu vas jamais vivre la vie que t'as envie, point barre, en fait. Donc, l'inconfort, les amis, il faut aller le chercher, il faut s'y exposer, il faut aimer ça, d'accord.

Speaker 1:

Numéro 2, fixer des limites claires. Tu dis non aux oui. Les distractions sociales, les potes, les machins, la weed, l'alcool, la bière, regarder le foot, les petites boissons à la fin du travail, etc. En quoi c'est utile et qu'est-ce que ça t'apporte? en quoi ça t'aide à devenir ce père vertueux que t'as envie de devenir, ce bon mari, cette personne qui peut financièrement gérer toute sa famille, la personne sur qui on peut compter, etc.

Speaker 1:

Mais ce mec-là, il n'est pas dans les bars, il n'est pas à sortir le soir et samedi, il ne se dit pas ouais, tiens, qu'est-ce que je vais faire pour passer un bon samedi? Ce mec-là, il est au bureau, il est dans la salle, il passe du temps avec ses enfants et sa femme, et puis c'est tout. Voilà, ce mec-là, il est en train de travailler, il est en mission, voilà. Donc là, protège ton temps, protège ton énergie, enlève tous les vampires et, des fois, ça peut être même ta famille et des amis. Enlève tout ça.

Speaker 1:

Tu vois, n'hésite pas à réduire, pas nécessairement à couper des liens, mais à réduire le temps que tu vas dépenser avec certaines personnes. Au bout d'un moment, il faut être…. Le temps passeêmement vite, la vie avance. Il y a des gens qui obtiennent les résultats que toi tu veux. Et les gens qui l'ont obtenu il y a 10 ans.

Speaker 1:

Tu ne te rends pas compte de où est-ce qu'ils sont en fait? Tu vois juste un tout petit choix dans ta vie, dans ta journée et dans l'argent de ton temps et de ton énergie, mais il a des répercussions stratosphériques d'ici 3 ans, 5 ans, 10 ans. C'est. Les gens voient la difficulté de changer parce que tu quittes ce confort, tu quittes quelque chose de connu, mais tu ne te rends pas compte de la destination maintenant à laquelle tu peux prétendre. C'est exceptionnel, c'est exceptionnel.

Speaker 1:

Tu vois, mettre en place ça, prendre ce coaching, utiliser cet outil, agir comme ça, mais d'un coup là, en un an, boum, tu es une autre personne. Tu quittes un salariat, boom, tu fais déjà tes 7 à 8 cas par mois. Boom, tu vis à Bali ou tu vis ailleurs. Tu ne te rends pas compte à quel point tu peux être extrêmement loin si tu fais et si tu prends ce genre de décision. Donc, il faut avoir des limites extrêmement claires et protéger son temps.

Speaker 1:

Dernier point, et là, c'est le point qui va faire hurler et que tout ce monde des phasmes, du défenseur, des perso oui, parce que là ça y est, je suis énervé ne dit pas, c'est que tu ne peux pas avoir cette vie-là un peu d'exception, d'excellence, etc. Et en même temps, avoir la vie où tout est rose, tout est mignon, il y a des ours, il y a des papillons et il y a des paillettes partout. Mais non, tu ne peux pas avoir ça. Donc, tout ce qui va être chercher, oublie à tout jamais.

Speaker 1:

C'est le même repas, le même training, le même taf Boom. Là, je discutais encore avec une ancienne élève qui cherchait encore la diversité dans l'entraînement, alors que ça fait 3 mois qu'elle fait une routine de mobilité et un petit tirage. Je lui dis mec gros, moi, ça fait 25 ans de sport, les entraînements, c'est les mêmes. Ils peuvent être les mêmes pendant 2 ans. This is not the goal.

Speaker 1:

Tu ne cherches pas du plaisir maintenant dans la diversité, dans le fait que ça soit neuf, etc. Tu n'es pas un enfant de 4 ans. Tu vois, tu n'es pas en train de découvrir les couleurs de l'arc-en-ciel pour la première fois. Grow up, grandis. Tu es là pour t'accomplir, tu es là pour accomplir.

Speaker 1:

No-transcript cupcake, c'est pénible. Tu vois, james Clear, atomic Habits il y en a beaucoup qui mentionnent ce bouquin. La différence entre les champions et les amateurs est que les champions maîtrisent l'ennui des répétitions. Amen. Moi, je viens du monde des arts martiaux. C'est tous les jours les mêmes choses, les mêmes kata, c'est le même training, c'est juste du volume et du volume. Et du volume, il faut que tu sois à l'aise avec la répétition, avec l'ennui.

Speaker 1:

Moi, je dis souvent, les gens qui sont câblés au mieux pour l'entrepreneuriat, c'est vraiment ceux qui s' chose tout le temps. Tu vois, ça peut être un peu les danseurs, les circassiens, mais ceux qui font ce type de sport-là, gymnastes et tout, mais en fait, ils sont câblés pour moi. Je ne cherche pas à ce que mon entraînement soit différent, je cherche ce qui m'apporte quelque chose et que j'acquière la compétence, que je recherche la qualité technique, la qualité de poser la main sur le sol. Et bien, je le fais jusqu'à que ça soit parfait. Et bien, je le fais.

Speaker 1:

En fait, je ne cherche pas, ah oui, mais tu n'as pas un autre exercice, ouais, mais là, c'est bon. J'ai fait un peu un mois, là, j'ai envie de changer. Est-ce que tu ne peux pas essayer le TRX et tout? Non, mais accepter la monotonie, ça marche, tout le monde en plus, la dédistraction, et évidemment accepter une immense monotonie. Donc, voilà pour moi les clés, un peu, pour devenir une machine de productivité. C'est vraiment cette approche un peu essentialiste la notion de deep work, la notion d'intention, et après, se protéger en fait des démons. Donc, voilà l'idée et je pense qu'avec ça, plus évidemment, toute la partie sur maximiser la santé, je ne l'ai pas redit.

Speaker 1:

Normalement, on peut devenir un monstre de productivité, atteindre ses objectifs financiers, entrepreneuriaux, en termes de mouvements, de pratiques sportives, de performances cognitives, même de qualité de relation avec sa compagne, avec ses enfants ou avec son partenaire, ça, c'est garanti Et, honnêtement, une forme de paix et de simplicité dans sa vie. Tu vois, avec tout ce que j'ai partagé, il n'y a pas d'outil, il n'y a rien à acheter, il n'y a pas, oui, d'euphorie Un jour tu fais du base jump et le lendemain tu fais du free diving. Non, mais ce n'est pas ça la vie. La vie, elle n'est pas comme ça.

Speaker 1:

Si tu veux aller dans ce genre d'expérience de vie dans laquelle tu es vraiment libre, tu partages tes connaissances, tes expérimentations, tes expériences et ta passion de la santé, tu accompagnes des gens, tu aides, tu impactes, ça te demande de comme ça, il faut déjà que ton identité, ce soit celle d'un leader. Un leader, il n'est pas là pour. Tu vois, ce n'est pas celui que tu appelles, ce n'est pas celui que tu déranges, c'est le gars justement. Tu sais que son temps est précieux parce qu'il fait des choses importantes. Tu vois, et tu vas voir que, encore une fois, les portes de l'univers s'ouvrent. Est-ce que tu as envie de manifester? Tu vas le manifester. La vie que tu veux, elle n'est pas si difficile à atteindre.

Speaker 1:

Même moi, là, ce que je partage, et là où j'en suis dans ma vie, il y a des millions de personnes qui sont comme ça. Il n'y a rien d'exceptionnel, ce n'est extraordinaire de nos jours, mais ça apparaît extraordinaire parce que le monde, il est faiblard, il est médiocre, le niveau, il est tellement bas que maintenant, avoir une vie, honnêtement même, comme la mienne, où je peux voyager partout dans le monde et générer 40K par mois avec mon activité, vivre de ma passion, etc. Ça apparaît, mais stratosphérique. Moi, je vous le dis, les amis, dans les milieux dans lesquels j'évolue, j'ai vu, moi, le stratosphérique, no-transcript, cette simplicité et cette acceptation de la brutalité du réel. Et en plus, il y a un petit facteur divin, là, moi, je l'ai vu, je l'ai vu. Donc, je vous dis avant ça, il y a tellement de choses que tu peux faire pour déjà atteindre le top 5%, top 10% des humains, c'est atteignable. Alors, évidemment, pas dans tous les domaines, encore une fois.

Speaker 1:

Mais par contre, il faut être honnête aussi avec ton point de départ. Là où tu en es, est-ce que tu mets ne serait-ce que 40% des efforts que ces gens-là mettent dans leur vie? Si la réponse est regarder des gens sur Instagram, youtube, etc. Te raconter des choses, comme moi, et te dire Waouh, c'est inatteignable. Un jour peut-être, ah, il est trop tard, j'ai déjà 35 ans, 40 ans, je commence trop tard, etc», eh bien, écoute, bienvenue dans le Truman Show et continue à regarder la télé.

Speaker 1:

Sinon agis, et comme d'habitude. Moi, j'ai une communauté qui te permet de faire ça, où je te partage justement toutes ces clés, un peu lifestyle, mentalité, business en ligne et santé holistique, pour te permettre d'avancer. Ce n'est pas un accompagnement, donc, ne t'inquiète pas, c'est très peu cher, tu vas pouvoir consommer des choses. Et on se retrouve chaque mois pour quasiment un coaching par semaine, où il y a soit un invité que j'accueille, soit questions des élèves. Et puis, parmi tous les membres de la communauté, je sélectionne une fois par mois un élève au hasard et je lui fais un coaching, un à un, pour qu'il avance.

Speaker 1:

Ça marche, que ce soit dans le corps, dans le business ou dans la mentalité. Donc, n'hésite pas, c'est la première étape, vraiment, de cette transformation. Je te dis c de choses. Le reste, je t'assure, il est inaccessible. Tu vois, les 6 000 euros pour les retraites, etc. C'est pas encore. Mais par contre, fais ça et surtout, profites-en avant la fin d'année, comme ça, au moins 2025. C'est la dernière année, 2024, dans laquelle t'es comme ça et 2025, c'est la première année de ta nouvelle vie. Ça marche. Voilà pour devenir une machine de productivité sans se cramer. La méthode Movers, pleine balle.

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